Thursday, November 03, 2005

POEME DU BON APPETIT

Je veux vous raconter une petite histoire

Qui se passe dans une boite à thé

Ouvrant la boite, le croque note m'apostrophe:

croyant voir une croche au fond il mordit dans le "a"

Tant et si bien il ne macha pas ses mots qu'il en fit un petit "i"

Un petit sucre d'orge sucré que mmmmm on aime déguster

Mais on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeufs

Et le croque note ne put pas sortir de la boite où il s'était lui même enfermé

M'avez vous comprise?

restes

Ci-git les restes de Je sentiment

C'est leur faute à eux si T'es parti évidemment

Un chaos fermé s'est installé depuis que

Un inconnu m'apostrophe près de la tombe de...

Il A dit-il beaucoup souvenirs intimes de toi

Me salue fier, droit comme un I en émoi

Il m'assure ravi qu'il a aimé coMme moi

Faut-il vraiment que je te partage avec Eux?

Tigre

Tu oses lever les yeux

Sur Vénus et tous ces feux

D’une gifle je te rends l'insolence

Puis, je reprends mon indolence

Lassive mon corps glisse sur toi

Absente, le désir te broie

Je regarde le ciel implorant son ennui

Un croisement de caresse et le tigre rugit

Tout à coup, les regards se partagent

L'éveil se produit, le combat fait rage

Tu sers mon poignet de ta force

]Au son du plaisir qui désamorce

Sang nom

La glace brûle comme le miroir insolent d'une faiblesse humaine
Elle rit à ventre déployé
Devant ma lutte défrayée.

Ce combat lui donne toute sa force:
Elle me pénètre sans peine.
Le froid tranche dans l'écorce
Un sillon sanglant jusqu'à l'aine

Je me laisse aller au frémir
Le désir me fait rougir
De douleur.