Tu oses lever les yeux
Sur Vénus et tous ces feux
D’une gifle je te rends l'insolence
Puis, je reprends mon indolence
Lassive mon corps glisse sur toi
Absente, le désir te broie
Je regarde le ciel implorant son ennui
Un croisement de caresse et le tigre rugit
Tout à coup, les regards se partagent
L'éveil se produit, le combat fait rage
Tu sers mon poignet de ta force
]Au son du plaisir qui désamorce
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